Casque autrichien :
casque autrichien mod 16 peint en gris d origine
marquage sur le coté chair de la jugulaire LC7 de quelle epoque 1GM ou après et
quel pays ?
Je ne sais pas si le casque est plutot autrichien
qu'allemand mais
tout ce que je peux dire c'est que je possede le
meme sans interieur cuir
recupere dans ma region d'origine (Les ardennes) il
y a 40 ans par mon pere.
Par ces boulons sur l'avant je le classerais 1ere
guerre mondiale.
Nico
La coque est bien autrichienne de 14-18 mais la
couleur grise me chagrine un peu même beaucoup. Il faut savoir que des pays
comme la Tchécoslovaquie, la Hongrie, la Finlande, la Pologne et d'autres ont
récupérés une grande quantité de Stahlhelm M 16 aussi bien allemands qu'
autrichiens pour les utiliser soit comme tel ou après reconditionnement. Ce
reconditionnement consiste souvent par une nouvelle peinture en accord avec
l'uniforme et dans certains cas modification de la coiffe et de la jugulaire.
Par exemple, les casque autrichiens récupérés par
la Tchécoslovaquie ont subi un changement de coiffe et un changement de
jugulaire en remplaçant la jugulaire toile autrichienne par une jugulaire en
cuir.
Pour donner plus de détails sur la seconde
nationalité du casque, une photo de détail des coussinets de la coiffe et de
la jugulaire sont nécessaires.
E. Siegel
Voici le complément de photos. La jugulaire me
semble d origine , la toile des coussinets et de la coiffe me semble en coton et
contenir du crin de cheval assez crissant au toucher
Il s'agit bien d'un spécimen austro-allemand
modèle 1917, reconditionné dans les années 50.
Sa couleur grise est spécifique de la force de
gendarmerie mise sur pieds dès 1955 avec l'accord des armées alliées; les deux
petits trous circulaires visibles sur le côté entre l'aération et l'oeillet de
coiffe servait à retenir un petit insigne de couleur cuivrée représentant une
grenade éclatée.
Des casques allemands M-35 et M42 ont également
été utilisés dans cette forces de police appelée
"Gendarmerie B".
Bonnes salutations collectionneurs de casques.
J.Paul SOULIER
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